L'initiation érotique de ma cousine
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Maintenant que Marie est là, devant moi, je ne peux plus dormir.
Des idées étonnantes traversent mon esprit, d'autant que je sens la respiration de ma cousine augmenter légèrement.
Elle me regarde fixement, puis me dit j'ai chaud, il faut dire qu'avec tout le vin et le champagne qu'elle à but, ça donne quelques calories qu'il va falloir éliminer.
Puis Marie se redresse dans le lit, et retire soudain son teeshirt avec lequel elle c'était couché, voilà comme ça j'aurai moins chaud me dit-elle.
Son buste se dessine en contre-jour, elle a de magnifiques seins, bien droits, et je devine le dessin de ses tétons, bien raides comme deux petits dards.
Puis Marie se rallonge dans le lit familial.
En se remettant dans le lit, ma cousine n'hésite pas un instant, elle s'allonge cette fois tout près de moi, je sens même la présence de ses seins sur moi.
Mais pensées obscènes seraient-elles réalités ?
Marie est toute nue dans mon lit, et pendant ce temps Juliette ronfle et pète aussi de temps en temps, c'est la fête dans sa chambre.
Je tâte le terrain.
Ma main se dirige vers la joue de Marie, doucement je descends ma main sur son cou, et je profite de l'endroit pour lui caresser affectueusement sa nuque.
Ceci provoque en Marie un émoi certain, je la vois ouvrir légèrement sa bouche, d'ailleurs elle a de très belles lèvres pulpeuses et attirantes, qui ne demandent que des baisers.
Mes caresses sur sa nuque provoquent en Marie comme une électrisation, je sens son corps se raidir et bouger au fur et à mesure.
Mon audace va grandissante, voyant que ma cousine ne disait rien, mais semblait à l'évidence y prendre un malin plaisir, ma main indépendante et baladeuse, pris la décision de faire une promenade sur les seins de Marie.
Cette main aventureuse se risqua sur une poitrine que je sentais se gonfler à grande vitesse, plus de doute Marie à des envies, allez, tant pis pour les conventions, j'y vais.
Au moins, je prends soin de ma cousine. C'est l'esprit de famille.
Maintenant les dés sont jetés, pas question de s'arrêter en si bon chemin.
Ma main n'obéit plus qu'à elle même, elle se promène partout, impossible de la raisonner, ma menotte coquine s'en donne à coeur joie.
Cette fois, mon sang ne fait plus qu'un tour, ma main infernale ne cesse de vagabonder, je la retrouve soudain entre les cuisses de ma cousine, et je me rends compte qu'elle mouille comme une fontaine, et les rousses c'est très hot, je sens le parfum de son foutre remonter sous les draps, fragrances sauvages de la savane. Marie cette fois libérée, écarte ses cuisses pour mieux m'offrir sa ruche à miel.